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Au service de la musique

Mouezh Paotred Breizh

Créé en novembre 1993 Mouezh Paotred Breizh a fêté ses 20 ans en 2014. Pour cette occasion une nouvelle cantate a été créée : " Kan glaz ar sklêrijenn,  le chant bleu de la lumière" , extrait de l’ouvrage de même titre avec une traduction bretonne du Père Job an Irien et musique de René Abjean.

 

Depuis, un enregistrement de cette cantate est disponible sur CD (distribution CoopBreizh)

 

"Mouezh Paotred Breizh"Choeur d'hommes de Bretagne
Plus de renseignements sur le site internet.http://choeur.mpb.free.fr/ 

Cantate des saints ermites de petite Bretagne

Choeurs de Saint-Vincent - direction Gabriel ANDRE

musique de Jean-René ANDRE
livret de Jean-Pierre BOULIC

Les Chants de l'Iroise

de Jean-René ANDRÉ


Treize poèmes pour chœurs et solistes
Création le 5 juin 2008 par les Chœurs de Saint Vincent - Rennes

Edition CHANTELOUP MUSIQUE 2013 Vol 1 
C.D. édité en novembre 2008

Choeurs de Saint-Vincent, Rennes (CLSV01)

L'ensemble Saint-Vincent-Providence de Rennes est une école de chant choral et de musique. A la fin de l'année scolaire 2007-2008, des choeurs d'élèves de la cinquième à la terminale ont créé et enregistré une pièce contemporaine, « Les chants de l'Iroise ». Elle est composée de treize poèmes en français signés Jean-Pierre Boulic, qui sont autant d'instantanés du littoral. Alliant fraîcheur et maturité, les choristes les chantent sur une musique d'un des professeurs de l'établissement, Jean-René André. La soprane Sylvie Becdelièvre , un choeur d'hommes et l'ensemble Vibrations sont les autres interprètes de cette oeuvre onirique, carte de visite d'un établissement où l'on cultive manifestement l'excellence.

Source :Frédéric Jambon (Le Télégramme)

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Dom Michel Le Nobletz

Que nous dit aujourd’hui Dom Michel ? Qui était Michel Le Nobletz ? Le Concile deTrente venait à peine de s’achever. Michel Le Nobletz naît à Plouguerneau en 1577, le 4ème d’une famille qui a compté 11 enfants. Son père était un des quatre notaires royaux de Léon.

Après de belles études supérieures à Bordeaux et au collège des Jésuites à Agen, il revient à Plouguerneau mais, chassé de sa maison, il est réduit à garder les bestiaux. Quelque temps après, son père l’autorise à se rendre aux Cours de la Sorbonne à Paris. La rencontre avec le Père Cotton (confesseur d’Henry IV) le décide à devenir prêtre, afin d’être, dit-il, missionnaire en Basse-Bretagne. Il a trente ans lors de son ordination. Il se retire d’abord dans un ermitage, à Tréménac’h. Il commence à imaginer, pour ses prédications, des tableaux – les taolennou – destinés à transmettre l’Évangile aux enfants et aux gens illettrés. Puis il entreprend avec plus ou moins de succès ses missions qui le mènent bien entendu dans son pays natal et aussi à Morlaix, Tréguier, Sein, Ouessant, Molène, Batz, Landerneau, en Cornouaille et finalement au Conquet (qu’il avait déjà connu) à partir de 1639. Frappé de paralysie, à 75 ans, il meurt le 5 mai 1652, en ce lieu où l’on peut aujourd’hui se recueillir et prier Michel, devenu vénérable en 1897. Son tombeau a été transféré de Lochrist dans l’église du Conquet. À notre monde présent, que suggère la vie dépouillée de Dom Michel ? Lui que l’on dit apôtre de la Bretagne et des pauvres gens, lui, d’une foi tenace et que l’on a vu comme un nouveau Jean-Baptiste ? Bien sûr, on ne peut pas tout citer d’une vie aussi passionnée et passionnante, toujours en mouvement. Quelques traits caractéristiques s’imposent.

Afin d’assurer ses relais, là où il avait prêché, Michel Le Nobletz fait appel à des femmes qui sont devenues de précieuses auxiliaires dans l’annonce de l’Évangile et l’explication de ses tableaux. Il a composé un certain nombre de cantiques qui sont parvenus jusqu’à nous. La langue bretonne a été beaucoup influencée par ses méthodes de travail. Il a mis en lumière la vocation du Père Maunoir.

Toutefois, confronté en permanence aux intrigues, à tous les pouvoirs en place et aux mondanités, Michel s’est révélé être un homme souvent seul, mais allant dans la surabondance du don de soi ; parlant avant tout de coeur à coeur, il s’est affirmé « signe de contradiction » défiant les coutumes de son époque. Dans le testament de Michel Le Nobletz il est uniquement légué « un beau rien dans un coffre vide ». Oui, il faut

surtout avoir à l’esprit ce que révèle cette vie dans le bien et la joie qu’elle a dispensée : ce sont nos seules pauvretés qui peuvent accueillir et annoncer la Bonne Nouvelle.

Jean-Pierre Boulic

Janvier 2014

Autres collaborations musicales

Le clair secret

Pierre MORET

Trois mélodies pour soprano et orgue

Création le 19 septembre 2004

René ABJEAN

ENFANT D'OUESSANT 

sur des traductions de Job an IRIEN

E tal milin an traoñ (Près du moulin dans le val)
Kan ar Folgoad (Le Chant du Folgoët)
Da Zantez Anna Wened (À Sainte-Anne d'Auray)
Sklerder ar Minihi (Clarté du Minihi)

Kan Anna Vreiz   (Anne, qui êtes de Bretagne)  

CD Chorale Anna Vreiz - Nantes
Telenngen da Sant Ourzal (Ode en l’honneur de Saint Ourzal)

Sur des traductions de Yan Ber Premel

Bugelig Eusa (Enfant d’Ouessant)

Arvorig (Armorique)

STABAT MATER

musique de Jean-René ANDRÉ pour piano et 5 voix égales

poème  de Jean-Pierre Boulic

SALVE REGINA

musique de Jean-René ANDRÉ pour piano et double chœur à voix égales

poème de Jean-Pierre Boulic

SI TU VEUX DIRE

création par le Chœur de l’Académie du festival Jean Langlais – juillet 2016

De cœur à cœur

Les biens de ce monde

Ô Père d’infinie tendresse

PINS ET BRUYÈRES   

musique de Jeanne Bardin Marchesse

texte de Jean-Pierre Boulic 

libre adaptation d’une chanson morave   

 

BRETAGNE

musique de Jeanne Bardin Marchesse

poème de Jean-Pierre Boulic

 

 

 

Cantate KAN GLAZ AR SKLERIJENN

Le Chant bleu de la lumière

Musique de René Abjean

Poèmes de Jean-Pierre Boulic

Traduction bretonne de Job an Irien

Création 2013 par MOUEZH PAOTRED BREIH – Chœur d’hommes de Bretagne

Gwenaël Riou

 

Cantate en l’honneur de Saint Tudy

Kan evid Santig Du   

(Chant pour Santig du – traduction bretonne de Job an Irian)

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